mardi 5 octobre 2010

La dépendance au TI


La dépendance au TI: La drogue des médias sociaux

Dépendance aux TI

La drogue des médias sociaux

Agence QMI 
Joanne Richard
13/05/2010 16h15  


L’auteur Carl Honore estime que «de nos jours, nous sommes plus esclaves que maîtres des technologies que nous utilisons.»  

Il semble désormais difficile de vivre sans les médias sociaux!
Dans le cadre d’une étude récente, des étudiants se sont montrés si accrocs aux médias qu’une pause de 24 heures sans appareil a suffi à déclencher chez plusieurs sujets des symptômes de sevrage semblables aux effets observés dans les cas d’accoutumance aux drogues et à l’alcool.
Imaginez l’impensable: pas de cellulaire, de BlackBerry, de iPod, de MP3, de portable, de télé, de radio d’auto, de journaux ni de magazines! Et le plus douloureux – pas de textos, de Twitter ni de Facebook.
Vivre privé de médias a rendu les jeunes observés «misérables, nerveux, remuants et intenables», rapporte l’Université du Maryland.
Ces résultats ne surprennent pas les experts. C’est la loi du numérique. «Toutes ces technologies ont un grand potentiel d’utilisation, de même qu’un énorme potentiel d’abus», constate le Dr Stuart Fischoff, enseignant en psychologie des médias à l’Université de la Californie à Los Angeles.
«Tous les individus sont des accrocs en puissance, en attente de leur drogue de prédilection, que ce soit l’héroïne, le jogging, la nourriture rapide ou les médias sociaux. Toutes ces substances peuvent devenir des avenues compensatoires…»
Les médias sociaux mènent actuellement le bal. Selon M. Fischoff, «la technologie peut servir de créneau à nos obsessions sous-jacentes, en attente d’une voix porteuse.» Les médias sociaux sont une toute nouvelle culture pouvant nous valider, avec ses promesses d’une myriade d’amitiés, d’abonnés et de connexions, ce qui gonfle notre sentiment d’importance.
L’auteur Carl Honore estime que «de nos jours, nous sommes plus esclaves que maîtres des technologies que nous utilisons.»
La connexion permanente fournit une montée d’adrénaline: «C’est tout comme une drogue et nous devenons des junkies», constate M. Honore, conférencier international sur les mérites du ralentissement dans notre monde en constante accélération. «Retirez cette connexion et nous prenons panique et commençons à éprouver des symptômes de sevrage. Les nouvelles technologies sont merveilleuses, assure M. Honore, mais le problème pour plusieurs d’entre nous et surtout les jeunes, c’est que nous bénéficions à l’excès d’une bonne chose. Voilà pourquoi nous utilisons le jargon propre aux phénomènes d’accoutumance pour décrire notre relation à nos appareils électroniques.»
Nous observons ainsi chez des gens privés temporairement d’accès aux médias un état d’apathie et un ennui généralisé. Il est vraiment tragique d’entendre que des gens trouvent l’existence morne sans une piste sonore de format MP3 dans les oreilles», poursuit M. Honore. «Un individu toujours connecté, toujours à «on» éprouve un sentiment permanent de distraction agitée. Il lui devient difficile de se reposer, de réfléchir, de visualiser et de se concentrer, de percevoir le plaisir réel des choses, d’être pleinement incarné dans le moment – parce qu'il surfe simultanément plusieurs moments.»
Vivre dans un état permanent de surinformation, ce n’est pas vivre du tout: «que des boîtes à cocher et des boutons à presser», de dire l’auteur de In Praise of Slow.
La connexion constante a paradoxalement mené à un état de déconnexion généralisé. La technologie de l’information a ajouté une couche nouvelle et excitante aux relations sociales, explique M. Honore, «mais cette plateforme est malheureusement en train de remplacer d’autres formes de communication plus lentes et plus approfondies. Les jeunes doivent apprendre à interagir de plusieurs façons, pas seulement en ligne.
«Peu importe le degré de sophistication de la technologie, un tweet ne relaiera jamais une communication avec la profondeur ou le relief d’une conversation de visu ou même d’un câlin.»
Selon le psychologue Dr. James Houran, «le terme "accoutumance" est peut-être un peu fort, mais il ne fait aucun doute que les gens sont devenus trop dépendants des médias sociaux… La cause profonde de cette dépendance ne réside pas tant dans les médias sociaux comme tel, mais plutôt dans ce qu’ils offrent: une sensation de contrôle, un but et surtout, un sentiment d’identification.
«Les gens éprouvent toutes sortes de symptômes physiologiques et psychologiques lorsqu’ils ont l’impression que leur environnement immédiat est hors de contrôle. Les humains ont besoin de se sentir connectés et de sentir qu’ils ont un impact sur leur monde intérieur et extérieur; sans cette connexion, nous nous sentons très perdus et même paniqués», dit-il.
Une dépendance aux interactions par le biais des technologies peut en fait isoler les gens au sens psychologique, estime M. Houran, ajoutant que «les connexions électroniques que nous établissons sont plutôt superficielles et l’étiquette sociale que nous développons s’appuie hélas sur ces connexions impersonnelles – même artificielles – plutôt que sur de véritables connexions interpersonnelles qui ne peuvent se créer que lorsque les personnes sont présentes physiquement et qu’elles se dévouent mutuellement leur attention.»
Selon M. Houran, ce ne sont pas toutes les cultures qui ont laissé les médias sociaux occuper à ce point le terrain des communications. Plusieurs cultures de l’Est accordent énormément d’importance aux relations personnelles approfondies et privilégient l’interaction en chair et en os.
«Pour être compétitif au sein d’une économie mondiale en constant changement, les jeunes doivent apprendre à dépendre moins des médias sociaux et à développer de solides bases sur le plan des relations humaines, incluant l’apprentissage de nuances et d’une profondeur absentes des médias sociaux.»
«Malgré tous les aspects bénéfiques des médias sociaux, il me semble que la surdépendance aux médias sociaux érode cette qualité unique et essentielle au succès sur les plans personnel et professionnel – la débrouillardise. Lorsqu’on ne parvient pas à développer la débrouillardise au plan personnel et professionnel sans l’aide des médias sociaux, cette méthode de communication se montre plus nuisible qu’utile.»
 http://fr.canoe.ca/techno/nouvelles/archives/2010/05/20100513-161500.html
  



La Presse
Plus, samedi 30 janvier 2010, p. PLUS8

ACCROS DU WEB

"Papa, tu es un crackberry"

Côté, Émilie

Au début du mois, une adolescente de 14 ans écrivait une lettre ouverte dans le Toronto Star pour témoigner de la dépendance de ses parents au BlackBerry.
Tai Notar y raconte qu'un jour, elle en a eu assez. Elle a dit à son père et sa mère qu'elle n'était plus capable de les voir consulter leur téléphone intelligent à table ou en vacances.
"Mon père a avoué que parfois, quand il est sur son BlackBerry, il n'est pas conscient de ce qui se passe autour de lui. Quand j'essaie d'avoir une conversation avec lui, il ne remarque même pas que je parle", écrit-elle.
Tai Notar a même eu un petit accident de la route avec son père, qui a heurté une voiture en pleine heure de pointe car il consultait ses courriels.
C'était la goutte qui a fait déborder le vase. L'adolescente de 14 ans a alors proposé à ses parents "crackberry" des règles et un contrat, qu'ils ont acceptés. Depuis, ils peuvent seulement consulter leur téléphone intelligent dans une pièce différente des autres membres de la famille. Sinon, c'est une punition de 1$. L'utiliser à table, c'est 2$.
"Les BlackBerry ont envahi le monde... du moins celui de mon père et de ma mère, mais mon contrat commence à porter ses fruits pour eux... et pour mon compte d'épargne", conclut Tai Notar.
 Les symptômes de la cyberdépendance
Sentiment de bien-être quand on est en ligne
Pensées accaparées par les activités en ligne
La famille, les amis et les loisirs extérieurs passent en deuxième
Baisse de productivité à l'école ou au travail
Mensonges sur le temps passé en ligne
Réaction forte quand on est privé de l'internet
Aller sur l'internet à des heures irrégulières (durant la nuit, tard le soir ou tôt le matin)
Manque de sommeil et insomnie
Prise des repas irrégulière
Mauvaise hygiène personnelle
www.cyberdependance.ca
www.webaverti.ca/french/internetaddiction.html
www.netaddiction.com
© 2010 La Presse. Tous droits réservés.

Par Josée Muller

10 commentaires:

  1. Josée Muller à dit… La technologie n’est pas une drogue, mais il faut savoir la gérer et s’y adapter. La technologie en tant que t’elle n’est pas la source de problème, mais sont usage abusif est un symptôme que la personne à des problèmes subjacent qu’elle n’a pas réglé.
    Souvent nous voulons fermer les yeux devant ce problème qui est pourtant de plus en plus présent dans la société d’aujourd’hui. Les technologies se développent très rapidement et on est très enjoué face au avantages qu’elles nous procurent et on ne veut pas toujours voir le négatif que ça peut apporter à d’autre personne et à nous-mêmes si nous en abusons. La cyberdépendance est un phénomène nouveau que nous connaissons peu. La publicité est centrée de plus en plus sur les adolescents, clientèle plus vulnérable aux pressions des pairs et qu’il est plus facile de rendre accroc tôt et qu’ils continuent par la suite à être de gros consommateurs de technologie tout au cours de leur existence. Nous donnons des ordinateurs et des portables (cellulaire, ordinateur) à des adolescents et des enfants de plus en plus jeunes. Quand ils n’en possèdent pas un à eux, ils utilisent celui des parents. Les éduquons-nous assez nos jeunes à qui l’on met une technologie aussi puissante entre les mains? Les sensibilisons-nous aux conséquences d’abus, aux comportements sécuritaires sur le web aux dangers auquel ils peuvent être confrontés de façon réaliste? Leur montrons-nous un bon exemple? Souvent les parents manquent eux-mêmes de connaissance et de contrôle et ne sont pas assez conscient des comportements sécuritaires qu’il faut adopter. Les parents doivent mettre des règles de temps d’utilisation, doivent favoriser les jeux et la créativité en dehors des technologies numériques et ils doivent amener les enfants à aller jouer dehors, à aller socialisé avec les amis autrement que par chat ou SMS. Les jeunes doivent être sensibilisés sur les conséquences d’abuser des jeux virtuels surtout ceux de jeux de rôles qui demande au jeune de jouer toujours plus longtemps pour devenir plus fort et être plus respecté par les autres joueurs et ceux qui amènent des conséquences négatives si tu ne joues pas assez souvent et longtemps.
    Avec internet, tout ce qui est instantané est valorisé et tout ce qui demande de l’attente est dévalorisé. La technologie nous donne de plus en plus un sentiment de liberté et un sentiment de contrôle sur notre environnement. Maintenant être mobile et disponible en tout temps et transparent dans nos relation avec les autres est l’idéal privilégié. Internet nous permet d’avoir une vie sociale augmentée, d’être plus productif et autonome. On peut se servir des technologies pour échapper à la réalité devenue synonyme de frustration et d’ennui. Nous pouvons rechercher d’une façon effrénée l'excitation, la compétition, la performance... Certain disent que le portable est maintenant l’objet symbolique de l’indépendance, d’autres disent que les adolescents ne se valorisent plus en fumant la cigarette, ils se valorisent par la possession de la technologie portable. Mieux pour leur santé physique, mais au niveau psychologique, il risque d’y avoir de plus en plus d’accroc à la technologie, surtout à la vitesse que celle-ci se développe et on s’en rendra probablement compte qu’à retardement. Les gens vont probablement souffrir longtemps de ses dépendances à qui on aura laissé toute la place pour s’installer.

    RépondreSupprimer
  2. Josée Muller à dit… Une des plus grosses conséquences de la cyberdépendance est la désocialisation c.a.d. l’incapacité ou la difficulté d’entrée en relation avec les autres hors de la réalité virtuelle. Les relations à travers les technologies prennent toute la place dans la vie de la personne et elle ne développe pas ses autres sphères de relation. Souvent la personne qui préfère les relations virtuelles avait déjà des difficultés à être en relation avec les autres, mais son style de vie vient intensifier le problème. Elle devient dépressive plus rien ne l’intéresse d’autre que les activités sur Internet. Elle ne développe pas d’autres aptitudes, de goûts. Elle ne se fait pas d’amis autres que ceux en ligne ou souvent elle les néglige trop captivée dans son jeu. La personne développe sont identité virtuelle au lieu de sa propre identité et elle se sent plus valorisée dans son jeu virtuel que dans la vrai vie, où elle se sent souvent pas grand-chose.
    Le temps mis sur l’ordinateur ou sur d’autres technologies est du temps de moins pour faire de l’activité physique. Il y a de plus en plus d’obésité autant chez les adultes que les enfants et de nombreux cas de diabète et de maladies cardio-vasculaire qui en découle. Il faut qu’on réagisse et qu’on soit de plus en plus sensibilisé à tout ça…

    RépondreSupprimer
  3. Josée Muller à dit… L’ordinateur améliore les fonctions cognitives et il aiderait même les personnes âgées à augmenter leurs fonctions cognitives pour éviter le déclin associé au vieillissement. Certains se demande si l’accès rapide à l’information et aux distractions sur Internet nous amènerais à une réduction de notre capacité à maintenir notre attention, qui pourrait se manifesterais par notre esprit qui se met à vagabonder après 2 ou 3 pages de lectures. Certains disent qu’ils ne sont plus capables de maintenir leur attention comme avant, que ça leur prend maintenant des stimulations plus grandes pour être capable de maintenir leur concentration sur un sujet précis. Je crois que ça peut être possible.
    Lorsque l’utilisation d’une technologie nous amène de l’anxiété ou de la détresse ce n’est pas sain.
    Voici les comportements que je ne considère malsains surtout s’ils sont ancrés dans les habitudes de vie des gens.
    Le plus gros problème, c’est lorsque les gens sont incapable de décrocher de la technologie (c’est ce qu’on appelle être accroc.)
    Lorsqu’on ne peut pas s’empêcher de parler ou de répondre à notre cellulaire n’importe où, n’importe quand.
    Lorsqu’on n’est pas capable de se retenir d’utiliser une technologie qui nous rend en danger de commettre des accidents de la route.
    Lorsqu’on n’est pas capable d’écouter notre professeur parce que l’on n’est pas capable de décrocher de notre portable.
    Lorsque nos enfants ou notre conjoint à besoin de nous parler et que nous ne sommes pas capable de lâcher l’ordinateur pour lui donner l’attention dont il a de besoin.
    Lorsqu’on ne respecte plus aucune intimité avec quelqu’un, pour répondre au téléphone cellulaire ou autre.
    Lorsque tu n’est pas capable de vivre le moment présent avec toutes les émotions qu’il fait vivre et que tu passes ton temps à te sauver du moment présent sur ton Ipod ou ton Blackberry.
    Lorsque tu n’es plus capable de décrocher de ton travail à cause de ses technologies.
    Lorsque tu obliges quelqu’un à te répondre n’importe où ou n’importe quand à cause qu’il a un cellulaire.
    Lorsque tu prends toujours tes repas devant l’ordinateur au lieu d’avec les membres de la famille.
    Lorsque tu manque des cours, que tu ne fais pas tes devoirs ou tu manques du travail parce que tu es trop accroc à ton ordinateur et que tu ne te couche plus le soir.
    Lorsque tu t’empêches de dormir en pleine nuit pour aller sur l’ordinateur.
    Lorsque tu ne prends plus le temps de déjeuner pour aller jouer plus vite sur ton ordinateur.
    Lorsque tu ne peux pas t’empêcher durant tes heures de bureau de décrocher de tes emails ou de t’amuser en surfant sur le net.
    Lorsque tu n’arrives plus à être responsable dans ta vie à cause de l’ordinateur.
    Lorsque notre identité personnel dépend de la possession ou non d’une technologie.
    Lorsque des parents ne sont pas capables de se sentir sécurisés si leur enfant n’a pas de cellulaire. Lorsqu’ un parent se sert du cellulaire pour contrôler tout les allées et venu de son enfant et qu’il a sans cesse le besoin de se rassurer. Pas surprenant par la suite qu’un enfant privé de son portable ait des sentiments de panique.
    Lorsque quelqu’un est complètement dépendant de ses contacts facebook pour se sentir bien, cela s’appelle de la dépendance affective. Il faut être capable de décrocher et de vivre pour et par soi-même. Pour les adolescents les pairs sont très importants, il n’est pas surprenant que certains se mettent à avoir de gros problèmes parce qu’ils ne sont plus capable de décrocher de leur portable, de leur facebook ou autres.
    Lorsqu’ à toute les fois que tu te sens mal à l’aise dans une situation que tu te caches en utilisant ton portable. La technologie peut nous servir de béquille pour éviter d’être confronté à nos malaises, mais pendant que nous les vivons à demi nous restons pris avec. Il faut prendre le temps de sentir les choses pour être capable de s’en libérer.

    RépondreSupprimer
  4. Josée Muller à dit… suite...Lorsque certains jeunes sont en classe, mais ne sont pas vraiment là, qu’ils ont une préoccupation constante, qu’ils ne pensent qu’à leur technologie.
    Lorsque quelqu’un ne veut pas aller en vacance parce qu’’il n a pas d’accès Internet (je ne veux pas parler de ceux qui n’ont pas le choix car le travail oblige.)
    Il y a plusieurs mesures à prendre pour se débarrasser d’un problème de dépendance, mais d’être conscient de nos difficultés est la première étape de résolution de problème. Bonne sensibilisation à tous!!!

    RépondreSupprimer
  5. Facebook est un réseau social qui permet aux internautes de rester connecter avec le reste du monde. Je crois que les usagers doivent être capables de l'utiliser intelligemment. Il y a plusieurs types de dépendances. Si nous commençons à bannir tous ce à quoi nous pouvons devenir dépendants, nous devrions bannir pratiquement tous ce qu’on aime. Va-t-on interdire aux consommateurs de boire de l’alcool, de magasiner, de regarder la télévision ou de manger de la restauration rapide? Nous ne pouvons bannir ces bonnes choses, car c’est la responsabilité du consommateur de gérer son utilisation ou sa consommation. Les réseaux sociaux permettent de conserver des liens avec des personnes que nous ne pouvons pas côtoyer plus souvent par manque de temps, de distance qui nous sépare ou de conflits d’horaire. Grâce à des sites comme Facebook ou Twitter nous pouvons prendre des nouvelles rapidement des personnes que nous aimons. C’est un outil qui peut avoir des répercussions considérables sur l’essor d’une entreprise. En effet, un nouveau commerce qui n’a pas le budget nécessaire pour avoir de la publicité peut se tourner vers Facebook ou My Space pour se faire connaitre des consommateurs. Pour conclure, je dirais que les réseaux sociaux comportent plusieurs avantages et il n’en tient qu’aux individus de savoir l’utiliser intelligemment.

    Jessica Mark

    RépondreSupprimer
  6. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  7. La modération a bien meilleur goût c'est sûr.

    Mais je vois les réseaux sociaux comme une innovation qui a son importance comme l'électricité ou le téléphone. En fait dans cette ère d'information que l'on souhaite partager et que l'on souhaite consulter, les médias sociaux jouent pleinement bien leur rôle en contribuant le rendre plus accessible et à moindre coût. Les jeunes apprendront en vieillissant à mieux sans servir. Et c'est aux parents de mettre les limites. Qui sait donnera nous un jour des cours comment utiliser correctement ces outils. Mais je suis d'avis de Jessica, c'est à nous de l'utiliser intelligemment.

    En ce qui concerne le deuxième article, un moment donné, ça s'appelle aussi mettre ses valeurs à la bonne place. Je crois que trop de monde se sente important comme le PDG de l'entreprise, mais en fait ils ne le sont pas.

    RépondreSupprimer
  8. Dany R. a dit...

    Je ne pense pas que les médias sociaux soient une drogue et qu'il puisse créer le même genre de dépendance. Au contraires ceux-ci permettent aux jeunes et moins jeunes d'entrer en contacte plus facilement et de partager avec tous certaine chose qu'ils n'auraient pas partager autrement. Par exemple, un jeune qui va en vacance et met ses photos sur facebook ne les aurait pas montrer aux autres de sa classe sans facebook. Les relations interpersonnelles sont grandement améliorer grace à ces médias et je crois que les jeunes d'aujourd'hui seront beaucoup plus solidaire et plus tourné vers l'aspect humain dans leur vie profesionnelle et personnelle ce qui est très bien en soit. Même si certains passent beaucoup de temps la dessus, c'est mieu que de fumer de la drogue ou de vandaliser des voitures...

    RépondreSupprimer
  9. Dany a dit...

    Je suis totalement d'accord avec la fille de 14 ans et ça ne concerne pas seulement les parents et les blackberry. C'est un irrespect total que de consulter ne serait-ce que regarde l'écran de son portable pendant que quelqu'un nous parle. J'en suis outrer à chaque fois. Des règles d'éthique s'impose.

    RépondreSupprimer
  10. Je suis d'accord que les médias sociaux apportent de la dépendance. Les gens de nos jours veulent avoir accès a tout, le plus rapidement possible. Nous sommes de plus en plus un peu "voyeurs". Je me surprend moi même parfois a naviguer dans le "facebook" des autres afin de savoir ce qui ce passe dans leurs vies. Pourtant je n'en ai aucun interet. Je ne suis certainement pas le seul dans cette position. Beaucoup de gens s'en servent pour ce vider le coeur au lieu de la crier haut et fort sur les toits. Il faut prendre garde car, n'importe qui peut consulter les médias sociaux si nous ne nous protégons pas sufissament.
    Je suis en accord avec le second article, moi meme je trouve impoli de consulter ses courriels, écrire un texto ou parler au telephone lorsque je suis a table avec des gens.

    RépondreSupprimer